Maison Blanchétoile

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Confrérie RP - Le Seigneur des Anneaux Online - Serveur Estel

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2 participants

    Renaissance

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    Trystiel


    Messages : 32
    Date d'inscription : 02/11/2007

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    Message  Trystiel Mer 28 Jan - 1:44

    La salle commune du Poney Fringant était comble. Véritable cœur de Bree pour bien des gens, la petite auberge accueillait nombre de voyageurs de tout poil, aventuriers ou négociants. Les nouvelles de toute la Terre du Milieu s’échangeaient dans la bonne humeur. Rumeurs de Cours se mêlaient aux rumeurs d’humbles villages, tandis qu’un ménestrel chantait près du feu. Toutes ces informations circulaient de ci, de là, dans une multitude de conversations aussi anodines que banales.

    Un homme poussa la porte et entra dans la salle à l'ambiance si chaleureuse. C'est à peine si les gens remarquèrent son entrée, tant il se fondait dans la masse. Vêtu de vêtements simples, il arborait un visage avenant où se dessinaient quelques petites rides. La trentaine passée, il arborait de courts cheveux noirs et un bouc taillé à la perfection. Une cicatrice couvrait son œil droit, donnant à ses traits une certaine sévérité que démentait ses yeux bleus-verts emplis de malice. Son regard, franc et direct, balaya la salle et croisa celui d'une des serveuses, dont le visage s'éclaira d'un sourire. Elle s'approcha de lui, esquivant les clients avec une agilité liée à la force de l'habitude, avant d'enrouler son bras autour du cou du nouveau client.

      - Laernel ! Cela faisait au moins trois jours que vous n'étiez pas venu ! Vous nous manquiez...

    L'intéressé affiché un sourire des plus charmeurs tout en plongeant ses yeux dans ceux de son interlocutrice.

      - Que voulez-vous, belle jeune fille, j'ai du me rendre auprès de l'un de mes tantes qui était fort souffrante. Pensez bien que j'aurais préféré veiller sur vous.
      - N'y pensez même pas mon cher !

    Elle lui fit un clin d'oeil, avant de reprendre son sérieux.

      - Rien de grave j'espère votre tante ?

    L'homme sourit de nouveau.

      - N'ayez crainte, ma belle. Elle est déjà remise. Elle avait surtout besoin d'un souffre douleur pour quelques jours.
      - Oh ! Je vois... Bien. Venez donc vous installer à cette table là-bas. Et pour vous remonter le moral après ces quelques jours difficiles, je vais personnellement m'occuper de vous ce soir.
      - Voilà qui me comble d'aise. La soirée sera donc nettement plus intéressant que ce que je croyais de prime abord.

    La jeune femme fit mine de prendre un air sévère, mais ses yeux rieurs démentait son attitude.

      - Comme si je ne savais pas déjà que vous alliez partir d’ici dans les bras d’une autre femme.
      - Allons, très chère… Vous savez bien que c’est uniquement par dépit… Vous serez toujours la seule à mes yeux…
      - Vil menteur ! Enfin… la flatterie me touche et vous le savez.


    La jeune femme gloussa avant d’amener son client à sa table. En véritable habitué des lieux, d’aucuns auraient dit en digne pilier de taverne, il n’eut même pas à commander. A peine était-il attablé qu’un verre était posé devant lui, accompagné d’une bonne bouteille. Le dîner ne tarderait pas…
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    Trystiel


    Messages : 32
    Date d'inscription : 02/11/2007

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    Message  Trystiel Ven 27 Fév - 18:55

    Quelques heures plus tard, le prétendu Laernel était dans sa chambre. Seul, contrairement à son habitude. Quelqu’un toqua à la porte, et il invita son visiteur à entrer. Une jeune femme aux cheveux blonds, coiffés en chignon pour ne pas la gêner, s’avança et vint mettre un genou à terre devant lui. Vêtue d’un pourpoint de cuir et de simples pantalons, la lame qui battait à son côté aurait dissuadé la plupart des criminels de s’en prendre à la jeune femme dans les rues de Bree en dépit de l’heure tardive. Et le malheureux que la crainte n’aurait pas retenu aurait vite appris à ses dépens que la jeune épéiste savait fort bien manier son arme.

      - Ser Trystiel, voici le rapport que vous attendiez.
      - Ah, parfait… Mais relevez vous Ellaran et prenez vos aises. Je vous ai mis de côté un peu de cette bière que vous affectionnez tant et vous trouverez mon herbe à pipe sur le bureau.

    Un sourire illumina le visage de la jeune femme qui ne se fit pas prier deux fois. Pendant qu’elle remplissait sa chope et celle de Trystiel, ce dernier parcouru la missive. Ses traits étaient beaucoup plus sérieux que ceux qu'il affichait quelques heures plus tôt dans la salle commune de l'auberge. Et sa mine s'aggrava encore au fil de sa lecture. De longues minutes s'écoulèrent. Ellaran bourra une pipe d'herbe avant de l'allumer. Elle ne quittait cependant pas son Seigneur des yeux, gagnée par une certaine anxiété. Il finit par se lever, et jeta le document dans les flammes de la cheminée, où il se consuma rapidement. L'air absorbé, il contempla le jeu des flammes durant de longues minutes, avant qu'Ellaran ne l'interrompe dans ses pensées.

      - Ser ? Est-ce ce que vous craigniez ?
      - Oui Ellaran. Et même pire encore. Mais je me demande comment nos cousins de Bree ont pu laisser ainsi la situation dégénérer sans réagir. Si les rôdeurs ne nous avaient prévenu et si je n'étais venu moi même me rendre compte de tout cela, jamais notre Maison n'aurait eu vent de ce qui se tramait ici.
      - Est-ce à ce point ?
      - Oui. Et il est temps je crois que notre Maison renaisse enfin de ses cendres.

    Les traits de la jeune femme s'éclairèrent et un large sourire illumina son visage.

      - Ser ? Enfin ?
      - Votre joie fait plaisir à voir. Malheureusement, les circonstances sont graves et j'aurais préféré qu'une telle chose se déroule en des âges moins sombres.
      - Oh...

    La jeune femme baissa la tête, la mine contrite. L'homme se dirigea vers le bureau et s'empara de sa bière, qu'il vida d'un trait avant de reposer sur la table. Ses yeux brillaient d'un nouvel éclat. Loin était le dandy pour lequel il aurait pu passer quelques heures plus tôt. Sa démarche, son regard, sa voix même : tout en lui trahissait l'ancien officier du Gondor qu'il avait été par le passé. La jeune femme vida à son tour sa chope, regrettant de ne pas voir quelque chose de plus fort sous la main. Trystiel la regarda quelques instants, avant de retourner s'asseoir derrière son bureau. Il attrapa du parchemin et une plume, qu'il trempa dans son encrier, avant de se lancer dans la rédaction de missives.

      - Profitez de ces quelques instants de répit, Ellaran, je vais voir besoin de vous rapidement.
      - A vos ordres, Ser.

    La jeune femme alla s'installer dans le fauteuil devant la cheminée, laissant son seigneur rédiger son courrier. Fermant les yeux, elle commença à tirer sur sa pipe, tout en écoutant le grattement de la plume sur le parchemin. Sa pipe finie, elle la posa avant de s'installer plus confortablement. Quelques minutes plus tard, elle dormait.

    L'aube se levait lorsqu'elle s'éveilla. Trystiel finissait de rouler des parchemins, sur lesquels il apposa son sceau avant de les ranger dans une sacoche de cuir.

      - Bien dormi ?
      - Comme un bébé. Le temps de prendre un petit-déjeuner, et je serais prête à partir.
      - Parfait. Vous allez vous rendre auprès d'Ethryl, à Staddel. Il garde quelques faucons pour moi. Remettez lui ces courriers. Qu'ils les transmettent à Ser Aedred, au Rohan, et à dame Sionedh, au Gondor.
      - Bien Ser. Rien pour vos cousins de Bree ?
      - Non. Je les convoquerai plus tard. Leur silence m'inquiète, d'autant que je sais qu'ils sont toujours présents et actifs au travers d'une guilde marchande locale. Je ne sais pas encore quoi en penser...
    Lysandre
    Lysandre
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    Messages : 136
    Date d'inscription : 02/11/2007

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    Message  Lysandre Lun 9 Mar - 16:26

    Une douce chaleur régnait dans le petit salon privé de l'auberge du Poney Fringant, à Bree. Le feu dans la cheminée crépitait doucement, tandis qu'un ménestrel, assis dans un coin de la pièce, jouait une musique paisible. Debout contre la porte menant vers le couloir se tenait un homme au crâne rasé qui semblait souffrir d'un profond ennui. Son oeil n'en demeurait pas moins vigilant, et ses mains ne restaient jamais très loin des deux longues lames qui pendaient à sa ceinture. Vêtu d'une longue chemise bouffante blanche sous un haubert de cuir, l'homme aux allures de spadassin veillait sans nul doute sur les personnalités présentes dans la pièce.

    Autour d'une longue table de chêne couverte de mets divers et de carafes emplies de vins et alcools fins, deux hommes et un nain conversaient. En bout de table trônait Trystiel, assis dans un large fauteuil sur l'accoudoir duquel était juché une avenante jeune femme blonde à la mine réjouie. Elle portait une longue robe carmin d'excellente facture et réhaussé de fils d'or, dont le décolleté plongeant révélait une poitrine ferme et opulente. Ses yeux, d'un bleu saphir, ne quittaient pas le noble gondorien à qui elle faisait déguster entre deux gloussements et grain après grain, une grappe de raisins rouges.

    Le nain, vêtu de vêtements simples mais de bonne qualité à la teinte vert-olive, observait la scène tout en buvant le contenu d'une grande chope en métal. Il reposa celle-ci, avant d'essuyer d'un revers de manche la mousse qui demeurait sur sa longue barbe rousse. Son regard trahissait le mélange d'ennui et d'agacement qu'il ressentait,

    Le dernier homme était vêtu richement et semblait profiter tout autant que son compagnon en bout de table de l'atmosphère festive qui régnait. Il vida d'un trait son verre empli de vin, avant de s'en servir un nouveau. Tout comme son garde du corps près de la porte, son crâne était rasé de près, mais lui arborait un petit bouc bien taillé qui n'étaient pas sans donner une petite touche virile à ses traits fins.

      - Ser Trystiel, permettez moi encore de vous remercier pour votre aimable invitation.
      L'intéressé se détourna un instant de la courtisane qui l'absorbait tant pour se tourner vers son interlocuteur.
      - Mais je vous en prie, cher cousin. C'est tout naturel. Et puis il était important que je vous annonce personnellement la grande nouvelle.

    Etanhiael écarquilla un instant les yeux.

      - La grande nouvelle ?

    Trystiel rit.

      - Allons, cousin. Ne me dites pas que vous n'avez pas deviné la raison de ma présence ici.
      - Eh bien, pour tout dire nous pensions à une simple visite de courtoisie...

    Keirgahr, le nain, reposa sa chope, les yeux soudain plein d'intérêt. Finalement, peut être que cette soirée ne serait pas totalement une perte de temps ? Trystiel avala un nouveau grain de raisin que lui faisait goûter sa compagne avant de reprendre.

      - Il n'est pas encore temps. Nous attendons un dernier convive. En retard évidemment.
      - Un autre convive ? Qui donc ?
      - Allons, cousin, laissez moi donc vous en faire la surprise. Mais revenons en à ce que vous me disiez. Apparemment les affaires de la Compagnie de Bois Argenté sont florissantes ?

    Keirgahr prit alors la parole, tandis qu'Etanhiael dégustait son verre lentement.

      - Si vous le permettez Ser, elles sont effectivement en plein essor. Notre carnet de commandes est plein, et à vrai dire c'est plutôt la main d'oeuvre qui nous manque. Sans parler des ressources.
      - Comment cela ?
      - Nous avons beaucoup perdu avec la destruction de notre comptoir à Bree dans l'incendie et...
      - Quel incendie ?

    Etanhiael se trémoussa sur sa chaise, comme mal à l'aise, avant de répondre.

      - Il y a quelques mois un incendie a ravagé notre comptoir, et a détruit tous nos stocks. Mais ne vous en faîtes pas, nous pourrons très bientôt en reconstruire un et reprendre nos activités habituelles.
      - Je m'étonne, cousin. Comment se fait il que vous ne m'en ayez pas avisé ?
      - Oh, ce ne sont que les affaires internes à la Compagnie, Ser. Nous nous en remettrons vite rassurez vous.

    Keirgahr fronça un instant les sourcils, mais reprit aussitôt une mine avenante lorsqu'il remarqua que le regard rieur et quelque peu embrumé par l'alcool de Trystiel s'était posé sur lui. Ce dernier se détourna à son tour pour se reconcentrer sur la courtisane.

      - Bah, si vous avez les choses bien en main, je n'ai pas de raisons de m'inquiéter.

    La courtisane lui glissa quelques mots à l'oreille, qui provoquèrent son hilarité. Il attrapa son verre, but une gorgée puis le tendit à sa compagne qui en finit le contenu d'un trait. C'est à cet instant que l'on toqua à la porte. Trystiel offrit un large sourire à ses compagnons.

      - Ah ! C'est sans doute notre retardataire ! Dren, ouvrez donc à notre ami.

    L'intéressé acquiesça en silence avant d'ouvrir la porte. Dans l'encadrement se tenait un homme de haute stature. Ses longs cheveux blonds ramenés en arrière laissaient paraître un visage avenant, aux traits durs ornés d'une épaisse moustache. Son regard, d'un acier bleu-vert, se porta sur la pièce et son visage afficha un certain agacement. Portant une simple tenue de voyage en cuir, il était couvert de poussière et une longue épée battait à son côté gauche. Une ample cape ayant souffert bien des martyrs durant son voyage couvrait ses larges épaules.

    L'homme inclina légèrement la tête devant Drenn, qui s'inclina avant de se reculer pour le laisser passer. L'arrivant s'avança dans la pièce, d'une démarche souple et assurée, avant de mettre un genou à terre devant Trystiel.

      - Vous voici donc enfin, cousin !
      - Mes respects, Ser Trystiel.

    Trystiel le toisa de bas en haut, affichant un air de profond dégoût. Sa voix se fit méprisante.

      - Respects ? Est-ce me respecter que de paraître devant nous dans une telle tenue ?
      - La route a été longue, Ser. Et j'ai fait au plus vite une fois arrivé à Bree.
      - Je vois. Eh bien vous auriez pu faire un effort quant à votre tenue. Tant qu'à être en retard, la descence aurait voulu que ce soit pour une bonne raison. Un bain, par exemple. Je vois qu'avec les années vous n'avez toujours pas appris les bonnes manières ?

    Le rire de la courtisane, cristallin, retentit dans la pièce tandis qu'Etanhiael et Keirgahr échangeaint un regard gêné. Les mâchoires d'Aedred se contractèrent et ses poings se fermèrent. Puis il souffla et se détendit, au grand soulagement de Drenn qui visiblement ne savait pas trop comment il pourrait contrôler la situation si elle venait à déraper...

      - Ah, au moins avez vous appris à vous maîtriser. Voilà qui est au moins une nette amélioration. Allons, prenez donc place à l'autre bout de la table. Ainsi votre odeur n'incommodera pas ma douce amie.

    Sans mot dire, Aedred vint prendre place après avoir salué son autre cousin et le nain, qui l'observaient avec une surprise manifeste. Trystiel l'observa faire avec toujours le même mépris affiché dans le regard, son attention bientôt détournée par de nouveaux chuchottements de sa compagne. Ils rirent de nouveau, tandis que Keirgahr versait au nouveau venu de la bière dans une grande chope, non sans un sourire compatissant et un regard des plus expressifs au plafond. Trystiel se tourna de nouveau vers ses convives attablés.

      - Bien, maintenant que nous sommes tous là, je peux enfin vous livrer l'excellente nouvelle qui m'a poussé à vous réunir.

    Les autres tournèrent tous leur attention vers lui, attendant avec une impatience non dissimulée la suite.

      - Il est, vous le savez, dans mes prérogatives de décider si le moment est venu ou non de restaurer notre Maison. Cela fait bien des générations maintenant que nous laissons traîner les choses. Et il temps que nous retrouvions, enfin, la place qui est nôtre. Aussi ais-je décidé que nous allions restaurer notre Blason, à compter de ce jour.

    Aedred s'enfonça dans sa siège, un sourire rêveur aux lèvres. Drenn décroisa puis recroisa les bras. Un pli de contrarité marqua un instant le front d'Etanhiael. Keirgahr lui, finit sa chope d'un trait avant de la reposer avec fracas sur la table.

      - Excellente nouvelle ! Mais... pourquoi aujourd'hui. Etes vous sûr que l'heure soit propice à de telles choses ?
      - Et pourquoi pas ? J'en ai assez de me complaire dans le secret. Reprenons au grand jour notre existence. Nous sommes héritiers de ce qui fut une grande maison d'Arnor. Reprenons la place qui est nôtre.

    Trystiel afficha un large sourire, reprit par ses convives. Plus ou moins avec sincérité, selon.

      - Bien, je suis heureux de voir que cette nouvelle vous ravit tout autant que moi. Néanmoins, il faudra faire quelques ajustements. Du côté de la Compagnie de Bois Argenté, je n'ai rien à redire. Continuez vos affaires, tout semble pour le mieux et vous avez mon entière confiance.

    Etanhiael et keirgahr, apparemment rassurés, affichèrent de larges sourires. Encore que le regard du nain semblait quelque peu contredire l'air jovial de son visage. Le regard de Trystiel se porta sur son cousin du Rohan.

      - Quant à vous, Ser Aedred. Qu'allons nous bien pouvoir faire de vous, je me le demande. Je crois savoir que vous admnistrez seul votre branche de la famille.

    L'intéressé acquiesça en silence, se demandant visiblement où son Seigneur voulait en venir.

      - Bien, les choses ne sauraient continuer ainsi. Il est hors de question que je vous supporte à nos Conseils de Famille tant que vous n'aurez pas... amélioré votre savoir-vivre. Vous allez prendre un conseiller dans lequel vous aurez toute confiance. Il siégera à votre place aux réunions que je présiderai. Et pour les autres, vous ferez comme bon vous semble.

    Sans dire un mot, son interlocuteur cacha sa réaction en vidant d'un trait sa chope. Puis il se leva et s'inclina devant l'assemblée.

      - Bien. Si cette réunion de famille est terminée, je vais vous laisser pour avertir les miens de la bonne nouvelle.

    Trystiel le regarda, un sourire dédaigneux aux lèvres. De nouveaux murmures de la courtisane, dont le regard était posé sur le fier guerrier contraint à ravaler sa fierté, déclenchèrent une nouvelle crise d'hilarité.

      - Vous pouvez disposer, cher... cousin.

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